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Sortie HDMI vers USB
Lr'ordinateur détecte le raspi comme une webcam
Pour l'instant
"Pour l'instant, les autorités ne prévoient pas de rendre obligatoire la vaccination contre le Covid-19 en France. Un employeur ne pourra donc prendre aucune sanction contre un salarié qui refuserait de se faire vacciner, confirme Muriel Pariente"
Headroom: "Chaque haussement de sourcil ou pupille un peu trop dilatée donne lieu à la création d'une donnée qui est transformée en «émotion»: satisfaction, tristesse, ennui ou confusion."
Hirevue: "De jeunes pousses spécialisées dans le recrutement en ligne en font également leur miel, comme HireVue, qui produit un score d'«employabilité» basé sur les mouvements du visage et le ton de la voix."
« Ce bel élan s’est fracassé face à la real politique comme on dit. Payan savait qu’il ne pouvait pas être le dénominateur commun pour l’union donc il a poussé pour que ce soit Michèle Rubirola. Face à l’emprise qu’a Payan sur elle, Michèle Rubirola a accepté ce rôle de leurre. Elle ne pensait pas que le Printemps avait une chance de gagner et ce leurre a trop bien fonctionné. A partir du moment où elle a été élue, on a vu qu’elle ne savait pas quoi faire, elle a joué le rôle quelque temps avant de prétexter cette opération pour démissionner. Sauf que Le Monde a éventé cette stratégie, qui n’a été que repoussée »
Premier commentaire...
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"cette photographie ne prouve donc pas que le leader travailliste de la capitale britannique a reçu le vaccin, mais elle ne prouve pas non plus le contraire."
Non elle prouve en revanche que ces gens nous prennent pour des imbéciles, à qui il faut montrer une image de vaccination et pas simplement dire : "je me suis fait vacciner". Evidemment ces gens se font vacciner comme je le ferai le plus tôt possible, bénéficiant de mon statut de médecin pour passer avant les autres (mais derrière les personnes âgées).
NB Il ne suffit pas de voir une aiguille sortir d'un corps pour affirmer qu'il y a eu vaccination, car du sérum physiologique peut remplacer le vaccin. Vous videz la seringue. Vous aspirez dans une ampoule de sérum physiologique. Vous remettez le capuchon. Vous placez ça sur un plateau en inox à coté d'un coton imbibé d'alcool."
"Ce qui est en jeu, c’est la liberté d’informer sur ces fléaux que sont le complotisme et la désinformation.
Martine Wonner à l’Assemblée nationale (DR).
Menaces de mort, intimidations, injures, accusations calomnieuses, allégations fausses ou mensongères, cyberattaques, procès en diffamation… : c’est ce à quoi s’exposent ceux qui comme nous à Conspiracy Watch entreprennent d’analyser sous un angle critique, simplement mais résolument critique, les théories du complot, rumeurs et autres intox ainsi que les propos publics et prises de positions de ceux, nombreux, qui s’en font les propagateurs.
Plus que jamais, la critique du complotisme relève du « sport de combat ». Depuis plusieurs années, singulièrement ces dernières semaines, plusieurs collaborateurs de Conspiracy Watch et moi-même personnellement avons été la cible d’attaques d’une violence inouïe auxquelles nous avons décidé de ne pas réagir.
Lorsque ce ne sont pas des utilisateurs anonymes courageusement planqués derrière leurs pseudos qui nous gratifient de toutes les insultes imaginables, ce sont des blogueurs, comme Olivier Berruyer ou Michel Collon, qui cherchent à nous faire taire, en lançant contre nous des procédures-bâillons – quatre contre moi à ce jour, en tant que directeur de Conspiracy Watch ou co-auteur d’un documentaire sur le complotisme diffusé sur France 3 en 2018.
Nous ne nous attendions pas à ce qu’une parlementaire fasse à son tour pression sur nous.
C’est pourtant ce qui vient de se passer. Dans un courrier à en-tête de l’Assemblée nationale qu’elle nous a adressé en recommandé avec avis de réception, la députée du Bas-Rhin, Martine Wonner, la même qui, il y a quelques semaines, dénonçait « la censure des médias en France », n’hésite pas à se réclamer de son statut d’« élue de la Nation » pour nous enjoindre, sous peine de poursuites, de retirer sous 48 heures non seulement la notice d’information que nous lui avons consacrée mais aussi « toutes publications présentes sur votre site traitant de ma personne » (sic !).
Lettre de Martine Wonner à Conspiracy Watch (cliquer pour agrandir).
Nous avons en effet consacré ces dernières semaines une notice d’information à Martine Wonner, comme nous en avons publié d’ailleurs des dizaines d’autres. Ces notices, mises à jour régulièrement, s’inscrivent dans le cadre de notre mission de veille et d’analyse critique du conspirationnisme et de la complosphère. Elles relèvent d’un travail d’information du public.
Du reste, aucune des informations contenues dans cette notice d’information n’est contestée par la députée qui prétend, à tort, que ce texte la présente comme « conspirationniste » (il est vrai qu’elle reconnaît elle-même ne pas savoir ce que veut dire le mot « complotiste » tout en expliquant par ailleurs qu’elle est en train de se dire que le mot « devient un adjectif de qualité ! »).
Il nous apparaît important que nos lecteurs aient connaissance de la place qu’occupe la députée du Bas-Rhin au sein de la complosphère francophone et nous ne voyons pas au nom de quoi nous devrions leur dissimuler ces informations.
Martine Wonner a fait l’objet de plusieurs textes dans des médias comme Le Monde, Libération ou L’Obs – qui va jusqu’à intituler l’un de ses articles : « Martine Wonner, une complotiste à l’Assemblée ? »… Elle fait également l’objet d’une notice dans l’encyclopédie collaborative Wikipédia. Mais il semble qu’elle concentre ses foudres sur notre média qui fonctionne avec deux salariés, une stagiaire, quelques pigistes et une poignée de collaborateurs bénévoles.
La lutte intellectuelle contre le conspirationnisme ne peut se faire qu’avec des arguments fondés en raison et des faits établis, recoupés, vérifiés, au terme d’un travail journalistique rigoureux et scrupuleux. Si des responsables politiques commencent à traîner devant les tribunaux un site internet unique en son genre comme Conspiracy Watch (un service de presse en ligne reconnu comme tel par la Commission paritaire des publications et agences de presse), c’est rien de moins que la liberté d’informer sur ces fléaux que sont le complotisme et la désinformation qui est en jeu."
Une chance qu'il y ait eu des caméras
https://twitter.com/Loopsidernews/status/1331907050281046017
Étude bidon sur le masque et les complotistes s'en servent...
- le groupe devant porter le masque à déclaré ne pas l'avoir fait correctement
- étude faites pendant un confinement
- faible nombre de contaminés
- les auteurs estiment à 38% le taux d'erreur
- les auteurs recommandent le port du masque
- 4300 participants et pas 6000
"Si vous feuilletiez les magazines de jeux vidéo du début des années 1990, vous vous souvenez sans doute d’avoir aperçu le SEGA VR, ce casque au look résolument futuriste mais qui n’est jamais sorti dans le commerce… Présenté lors du CES de l’été 1993, il ne devait coûter que $199 mais a été annulé discrètement ; Tom Kalinske, le PDG de SEGA de l’époque, révèlera bien plus tard qu’il provoquait des cinétoses. On aurait pu s’en douter mais on sait désormais pourquoi car, outre le fait que le casque ne détectait les mouvements que suivant deux axes sur trois, il offrait un taux de rafraichissement à quinze images secondes, bien loin du minimum syndical des casques d’aujourd’hui (72 Hz). Et si l’on a découvert cela récemment, c’est tout d’abord parce que Dylan Mansfield de Gaming Alexandria, qui déniche régulièrement des inédits, a obtenu de son développeur Kenneth Hurley un CD-ROM daté du 6 août 1994 et contenant le code source final (mais pas commercial) de Nuclear Rush, l’un des quatre jeux annoncés pour le SEGA VR et qui devait être présenté au CES à l’hiver suivant. C’est ainsi que Rich Whitehouse, conservateur en chef de la Video Game History Foundation (autre acteur majeur de la préservation du jeu vidéo), a pu décortiquer le programme pour comprendre comment la Mega Drive communiquait avec le casque branché sur le second port manette – sachant que les développeurs de Futurescape Productions n’ont jamais eu de prototype à disposition et travaillaient avec deux moniteurs… Whitehouse est ainsi parvenu à créer un émulateur compatible avec les casques VR actuels et disponible à cette adresse, aux côtés de la ROM du jeu. Évoquant Battlezone (1980), qui a d’ailleurs fait l’objet d’un reboot en VR, il n’exploitait hélas pas la puce SVP du portage 16-bit de Virtua Racing (1992) et se contente donc d’une 3D simulée à base de rasters, à l’ancienne."
notepad "$env:USERPROFILE/.wslconfig"
[wsl2]
memory=3GB # Limits VM memory in WSL 2 up to 3GB
processors=4 # Makes the WSL 2 VM use two virtual processors