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19.5V et 4.62A soit 90W
Semble charger la batterie
C'est bien 19.5V et 4.62A soit 90W mais risque de ne pas charger la batterie mais uniquement alimenter l'ordinateur
"Elle émane en fait d’un espace de ressources pédagogiques pour le premier degré de l’académie de Poitiers [...] en 2016 [...] C’est surtout le premier résultat référencé sur Google avec le titre de la lettre."
"«Et est-ce que quelques lignes tronquent le message global ?» s’interroge la chargée de communication du ministère, qui «trouve personnellement ce passage très daté». Ce qui interpelle Jérôme Pellissier : «Il fallait dans ce cas couper les parties anachroniques sur les enfants des campagnes qui reviennent après les récoltes», s’amuse cet écrivain et animateur du site Jaurès.eu"
"Le passage tronqué révèle, selon lui, «combien Jaurès était soucieux de l’autonomie de l’enseignant et de ne pas faire des élèves des bêtes à concours». Extrait qui résonne [...] avec la «réforme du baccalauréat» ainsi que «la politique d’évaluation permanente mise à l’œuvre par Jean-Michel Blanquer»."
"Ce dimanche, le ministère ajoutait une indication visuelle pour marquer l’endroit où le passage a été supprimé, sans toutefois rétablir le texte complet. Quitte, comme le disait précisément Jaurès, à «sacrifier la réalité à l’apparence»."
Neuf mois après le début de la pandémie, plusieurs médicaments ont prouvé leur efficacité, et d'autres, le contraire. PongMoji/Shutterstock
Ce que nous savons sur les traitements contre la Covid-19
23 octobre 2020, 14:24 CEST
Auteur
Gordon Dent
Senior Lecturer in Pharmacology, Keele University
Déclaration d’intérêts
Gordon Dent ne travaille pas, ne conseille pas, ne possède pas de parts, ne reçoit pas de fonds d'une organisation qui pourrait tirer profit de cet article, et n'a déclaré aucune autre affiliation que son organisme de recherche.
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Le bref séjour de Donald Trump à l’hôpital après avoir été déclaré positif à la Covid-19, le 2 octobre, a relancé le débat sur les divers traitements à l’étude pour lutter contre cette nouvelle maladie.
Certains médicaments qui ont été donnés au président existent depuis longtemps, tandis que d’autres relèvent de traitements plus expérimentaux. L’hydroxychloroquine, un antipaludique présenté comme un traitement possible, n’a pas été utilisée, car son efficacité n’a jamais été démontrée.
Grâce à Recovery, une plate-forme d’essais cliniques randomisés affiliée à l’Université d’Oxford, nous en apprenons plus de jour en jour sur les traitements envisagés pour la Covid-19. Ainsi, même si ces traitements continuent d’évoluer, voici ce que nous savons sur chacun d’eux neuf fois après le début de la pandémie.
Corticostéroïdes
Dès juin 2020, il a été démontré que la dexaméthasone, un corticostéroïde bon marché, pouvait réduire du tiers le risque de décès chez les patients atteints gravement de la Covid-19.
Des études ultérieures ont montré une réduction similaire des décès avec un autre corticostéroïde courant, l’hydrocortisone. Il se peut que ces médicaments soient efficaces parce qu’ils empêchent une inflammation grave des poumons.
Interféron bêta
Nous savons depuis un certain temps que les patients qui ne produisent pas suffisamment d’interféron bêta, une protéine qui joue un rôle majeur dans la réponse immunitaire, risquent davantage de subir de graves lésions pulmonaires causées par des infections virales.
Dans un petit essai clinique, l’interféron bêta inhalé a permis de réduire de 79 % le risque de développer une maladie respiratoire grave chez des patients hospitalisés atteints de la Covid-19. Un traitement à l’interféron bêta doublait les chances de ces patients de se rétablir complètement au cours de la période de traitement de 16 jours.
Bien que prometteurs, ces résultats doivent être confirmés par des études de plus grande envergure comparant le médicament à d’autres traitements. L’interféron bêta est également étudié en combinaison avec d’autres médicaments, dont le Remdesivir.
Une récente méta-analyse de traitements multiples n’a montré aucun bénéfice de l’interféron bêta injecté chez les patients hospitalisés atteints de la Covid-19.
Remdesivir
Ce médicament antiviral, qui empêche certains virus — y compris les coronavirus — de reproduire leur matériel génétique, est déjà autorisé temporairement dans une cinquantaine de pays pour le traitement des patients atteints de pneumonie en lien avec la Covid-19 et qui ont besoin d’un apport en oxygène.
Le médicament a d’abord été testé en Chine, mais comme l’épidémie a été rapidement maîtrisée dans ce pays, le nombre de patients inscrits n’était pas suffisant pour produire des résultats significatifs. Des essais ultérieurs aux États-Unis ont été plus positifs, montrant que le Remdesivir pourrait réduire le temps de guérison des patients hospitalisés souffrant d’infections des voies respiratoires inférieures liées à la Covid-19.
D’autres études ont montré que des patients atteints de Covid-19 et souffrant d’une pneumonie modérée ayant suivi un traitement de cinq jours au Remdesivir ont récupéré plus rapidement que ceux ayant reçu des soins standards. Toutefois, donné sur une période de 10 jours, le Remdesevir n’offrait pas plus de bienfaits que le traitement standard.
Les auteurs de l’étude se sont interrogés sur la signification de ces résultats. Une récente étude de l’OMS] est venue également démontrer que ce médicament ne permettait pas de réduire les taux de mortalité ou le temps de guérison des patients hospitalisés.
Néanmoins, le remdesivir est le seul médicament antiviral ayant montré une certaine efficacité contre la Covid-19 jusqu’à maintenant. Il fait maintenant partie de l’arsenal de traitements utilisés dans la plupart des pays, malgré la faible démonstration de sa réelle efficacité. Sur la base des derniers résultats de tests, la FDA américaine a décidé d'approuver, le 22 octobre, le remdesivir comme traitement contre la Covid-19.
Vials of remdesivir
L’utilisation du Remdesivir est temporairement autorisée, mais son efficacité n’a pas encore été démontrée. Felipe Capparos/Shutterstock
Tocilizumab
Les anticorps monoclonaux — des anticorps générés artificiellement pour cibler certaines molécules — sont déjà utilisés pour traiter des maladies inflammatoires comme la polyarthrite rhumatoïde. L’un d’entre eux est le tocilizumab, qui bloque les actions d’une protéine inflammatoire appelée interleukine 6.
Aux États-Unis, le tocilizumab est autorisé pour le traitement du Syndrome de libération de cytokines — un effet secondaire grave de certains traitements contre le cancer, similaire aux effets inflammatoires graves provoqués par la Covid-19.
Les études des effets du tocilizumab sur les patients infectés par la Covid-19 ont donné des résultats mitigés. Certains suggèrent que le tocilizumab réduit la probabilité que les patients hospitalisés aient besoin d’une ventilation mécanique, ainsi que le taux de mortalité de ceux qui en ont besoin. D’autres ont montré que le médicament n’a aucun effet sur l’état des patients.
Cependant, ces études étaient trop limitées pour permettre des conclusions définitives. Une méta-analyse a constaté des effets positifs, mais d’autres facteurs (différences d’âge, conditions de santé sous-jacentes et autres traitements) peuvent avoir influencé les résultats.
Des études plus importantes et plus robustes sont nécessaires. Le tocilizumab fait actuellement l’objet d’études dans le cadre des essais Recovery et d’un autre grand essai contrôlé randomisé aux États-Unis.
Plasma convalescent
Une autre approche fondée sur les anticorps consiste à injecter aux patients du plasma sanguin provenant de personnes guéries de la Covid-19. Ce plasma contient des anticorps naturels produits par le donneur lors de l’infection.
Le plasma de convalescence a été autorisé aux États-Unis en traitement d’urgence chez des patients atteints de la Covid-19 en août, malgré des preuves très limitées de son efficacité. Maintenant qu’il est autorisé, les médecins américains ne sont plus obligés de documenter ses effets, ce qui a rendu la cueillette de données valides difficile. De vastes essais contrôlés et randomisés sont aussi nécessaires.
Une étude à moyenne échelle menée en Inde n'a montré aucune amélioration des résultats cliniques. Les auteurs ont cependant noté qu'ils n'avaient pas contrôlé les niveaux d'anticorps dans le plasma reçu par les patients, ni les anticorps que ces derniers avaient déjà. Il est donc possible qu'ils aient donné du plasma avec des niveaux d'anticorps assez faibles à des patients qui avaient déjà eux-mêmes des niveaux élevés. Des essais de plus grande envergure impliquant du plasma sont nécessaires.
REGN-COV2
REGN-COV2 est un mélange de deux anticorps monoclonaux agissant spécifiquement sur l’enzyme ACE2, qui est la porte d’entrée du coronavirus dans nos cellules.
Des études sur les animaux ont donné des résultats prometteurs, mais elles ne permettent pas de prédire de manière fiable les effets de REGN-COV2 chez l’homme. Son fabricant a demandé une approbation accélérée afin de l’utiliser aux États-Unis, ce qui, comme pour le plasma de convalescence, pourrait rendre la collecte de données fiables plus difficile. Cependant, REGN-COV2 fait également l’objet d’une enquête dans le cadre des essais cliniques Recovery.
Un produit concurrent — LY-CoV555/LYCoV016 — fait l’objet d’un examen similaire pour une approbation accélérée. Il existe très peu de données sur ses avantages, mais il est également testé dans le cadre d’un essai clinique de grande envergure.
Des médecins informent les médias sur la santé du président Trump à l’extérieur du Walter Reed Medical Center
REGN-COV2 était l’un des nombreux traitements administrés à Donald Trump. EPA-EFE
Autres traitements possibles
Le seul autre traitement inclus dans l’essai Recovery est l’antibiotique azithromycine. Administré pour traiter diverses infections, il a des propriétés anti-inflammatoires et antibiotiques, et antivirales. Les essais réalisés jusqu’à présent montrent cependant qu’il n’a aucun avantage lorsqu’il est administré à des patients déjà hospitalisés. Recovery teste maintenant son effet au cours des premiers stades de la Covid-19.
Malgré les craintes initiales selon lesquelles certains médicaments contre l’hypertension artérielle pourraient augmenter le risque d’être atteint plus sévèrement par la Covid-19, d’importantes études ont montré qu’ils sont sécuritaires. Des études sont actuellement en cours pour déterminer s’ils pourraient même avoir un effet protecteur.
Enfin, tout comme pour [l’hydroxychloroquine], plusieurs études ont montré que la combinaison d’antiviraux lopinavir/ritonavir est inefficace contre la Covid-19.
Les dérivés d’un autre médicament antipaludique (d’origine végétale), l’artémisinine, ont une activité antivirale qui se concentre dans les poumons. En théorie, ils pourraient avoir des avantages cliniques, mais il n’y a pas encore de données pour le démontrer.
La version originale de cet article a été publiée en anglais.
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Ouvrir Powershell en élevé et aller dans (remplacer la version au besoin):
cd "C:\Program Files (x86)\Microsoft\Edge\Application\86.0.622.51\Installer"
Taper la commande suivante:
.\setup --uninstall --force-uninstall --system-level
Simon Veil
"la Pologne, pays de 38 millions d’habitants, a enregistré en 2019 seulement environ 1 100 cas d’IVG dont l’écrasante majorité étaient autorisées à cause de la malformation irréversible du fœtus."
"La pilule du lendemain ne peut plus être fournie sans prescription médicale depuis juillet 2017"
"Selon des ONG du pays, le nombre d’IVG pratiquées clandestinement en Pologne ou dans des cliniques étrangères pourrait atteindre près de 200 000 par an."
« Pour la plupart des patients, il devrait être techniquement possible d’éviter d’irradier cet endroit nouvellement découvert du système des glandes salivaires, de la même manière que nous essayons d’épargner les glandes connues », explique Wouter Vogel
Remplace societe.com
https://www.pappers.fr/
https://societe.ninja/
https://monidenum.fr/
"il étaient trois voitures de flic, huit policiers pour trois colleuses."
CW : harcèlement, suicide
Mes deux parents sont/étaient profs en lycée. Il y a quelques années, un évènement horrible a eu lieu dans l'établissement de ma mère, qui montre à quel point les profs sont très peu soutenus par leur direction (possible que je supprime ce thread par la suite).
Cette histoire n'est pas un cas isolé. Mon père a longtemps dirigé l'antenne syndicale de son lycée et, toute mon enfance/adolescence, j'ai entendu des histoires épouvantables de profs complètement abandonnés. Mais dans ce cas, ça a pris une tournure dramatique.
Des parents d'élèves ont commencé à s'en prendre un à professeur d'histoire-géo. Pas sur le contenu de ses cours, mais sur sa personnalité, sa manière de faire (quelqu'un de pourtant très humain et consciencieux dans son travail).
Du harcèlement et de l'humiliation en continu. Il a essayé d'obtenir le soutien de la direction, qui lui a tourné le dos, participant plus ou moins à l'acharnement.
Un soir, a lieu un conseil de classe. Les délégués de parents prennent la parole et l'humilient en public, démontant son travail de A à Z. Le professeur quitte le conseil en plein milieu, rentre chez lui, et se pend dans sa cave.
Je n'ai rien à ajouter, je pense que cette histoire parle d'elle-même
Non, la loi Avia n'aurait pas empêché l'assassinat, elle ne sert qu'à censurer et à la limite cacher ce qu'on ne veut pas voir...
"« La proposition de loi de Mme Avia, qui aurait permis de faire retirer [les vidéos] et de poursuivre ce père de famille, a été censurée »
[...]
tout d’abord, la loi Avia, concentrée exclusivement sur les devoirs des réseaux sociaux, ne comportait aucune disposition qui aurait pu permettre de poursuivre les auteurs des différentes vidéos visant Samuel Paty. Mais surtout, elle n’aurait rien changé à la situation des vidéos : les parties du texte censurées par le Conseil constitutionnel imposaient des délais très courts de modération, mais ils ne durcissaient pas les critères de modération.
Or, les différentes vidéos diffusées dans les semaines précédant l’attentat ne faisaient pas explicitement l’apologie du terrorisme et n’étaient pas « manifestement illégales » (ainsi qu’est énoncé le critère dans la proposition de loi). Samuel Paty avait porté plainte pour diffamation contre le parent d’élève qui avait publié la première vidéo, Brahim C., mais uniquement après que ce dernier eut déposé une plainte avec sa fille contre l’enseignant pour « diffusion d’images pédopornographiques ».
[...]
Un message haineux (au moins) publié par l’auteur de l’attentat avait été signalé par la Licra à Twitter. Il avait été modéré, et le compte utilisé pour revendiquer l’attentat désactivé très rapidement après la publication dudit message. Ce lundi, le gouvernement annonçait que 80 messages ayant salué l’attentat de Conflans avaient été signalés à la plate-forme Pharos. Ces messages font l’objet d’une enquête, et leurs auteurs sont susceptibles d’être convoqués ou perquisitionnés – laissant donc entendre que l’identité de ces derniers a été transmise aux services de police, ou qu’elle est sur le point de l’être.
[..]
Ce week-end, plusieurs responsables politiques ont également jugé – à tort – que l’attentat avait été rendu possible par « l’anonymat sur les réseaux sociaux ». Xavier Bertrand (Les Républicains) estimait ainsi, dimanche sur RTL, que l’anonymat faisait des réseaux sociaux « des lieux d’impunité ». « L’anonymat sur Internet est un fléau », renchérissait ce lundi le ministre de l’éducation nationale, Jean-Michel Blanquer. Dans ce dossier, tous les acteurs ayant publié des vidéos dénonçant Samuel Paty l’ont pourtant fait à visage découvert, et sous leur véritable identité : Brahim C., le parent d’élève à l’origine de la campagne contre l’enseignant, donnait même son numéro de téléphone personnel dans la vidéo virale qu’il a publiée sur Facebook.
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