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"C’est le ministre de l’Intérieur lui-même qui l’a admis lundi au parlement. Répondant à une question d’un député l’interrogeant sur une possible utilisation du système de traçage TraceTogether par la police, Desmond Tan a déclaré que «les forces de police de Singapour ont l’autorisation d’obtenir toutes les données, y compris celles de TraceTogether, pour des enquêtes criminelles». Et pourtant, les autorités avaient toujours affirmé que les données de ce système n’allaient être utilisées que pour la lutte contre le virus."
Un policier en charge des «violences faites aux femmes» jugé pour avoir harcelé une ex - Le Parisien
"Un policier actuellement en charge des « violences faites aux femmes » dans son commissariat a été jugé ce mercredi 30 décembre par le tribunal correctionnel de Nantes (Loire-Atlantique) pour le « harcèlement » d'une femme, connue sur un site de rencontres. Le fonctionnaire — par ailleurs conseiller municipal délégué à la « vidéoprotection » dans sa commune — avait en effet dans un premier temps tenté de « reconquérir » la plaignante après qu'elle eut mis un terme à leur relation au bout de quelques semaines. Il avait par exemple consulté le fichier des cartes grises pour retrouver l'adresse de ses parents — qu'il n'avait jamais rencontrés — pour leur envoyer une boîte de chocolats. Il l'avait aussi mise comme bénéficiaire de son assurance vie, sans l'en avertir.
Face à son refus de reprendre leur relation, cet homme de 40 ans avait dans un second temps écrit à la Caisse d'allocations familiales (CAF) pour dénoncer sa présumée « fraude » aux prestations sociales, ce qui avait valu des « contrôles inopinés » à son ex-compagne. Il avait également adressé des « courriers dénigrants » à l'académie de Nantes pour qu'elle prenne des « sanctions administratives » à l'égard de cette enseignante. Le policier s'était également introduit dans un autre fichier professionnel pour retrouver la trace d'une prétendue « fausse plainte » que la victime aurait déposée contre son ex-mari dans le cadre de leur divorce.
Son avocate a plaidé sa relaxe en raison de la « partialité de la procédure » : elle avait été ouverte après que la victime s'est confiée à son nouveau compagnon, lui aussi policier au commissariat central de Nantes. Le prévenu avait alors été « muté d'office » en Maine-et-Loire, un département limitrophe. Encore récemment, en avril 2020, il leur a donc envoyé un « courrier menaçant » pour leur réclamer « 300 000 euros » de dédommagements. « [La lutte contre] le harcèlement, c'est mon cœur de métier… Est-ce que je serais assez stupide, en tant qu'OPJ (NDLR : Officier de police judiciaire), pour commettre une telle infraction ? », a-t-il donc demandé aux juges nantais. Pas convaincu, le procureur de la République a réclamé six mois de prison avec sursis simple. Jugement dans un mois."
Et ça vaut pour tous les stéréotypes positifs ou négatifs en fonction des sexes
NB: elle fait quand même l'impasse sur les hormones qui altèrent le jugement et la confiance en soi
"Si on dit que c'est une tâche de sensibilité sociale, les hommes vont être moins performants que les femmes puisqu'ils ont intégré le stéréotype qu'ils sont moins bons dans ces tâches, d'empathie et de sensibilité sociale"
Et kimex ?
" Le laboratoire américain Pfizer accepte de payer la plus grosse amende jamais infligée par la justice américaine à un groupe pharmaceutique. Il a été reconnu coupable de pratiques commerciales frauduleuses.
AFP - Le groupe pharmaceutique américain Pfizer, fabricant du Viagra, a accepté de payer une amende record de 2,3 milliards de dollars pour solder une plainte sur ses pratiques commerciales, ont annoncé mercredi les parties prenantes.
Il s'agit "de la plus grosse amende jamais infligée par la justice américaine dans le secteur de la santé", a souligné le ministère de la Justice dans un communiqué, alors que l'administration Obama cherche à lutter contre la fraude et à réduire le coût astronomique de la santé aux Etats-Unis.
Cet accord définitif fait suite à un accord de principe dévoilé en début d'année. Il porte sur "des pratiques commerciales frauduleuses" concernant l'anti-inflammatoire Bextra, a rappelé le ministère.
Le Bextra avait été retiré du marché en 2005, en raison d'inquiétudes sur ses effets secondaires, particulièrement cardiaques. Selon les plaignants, Pfizer "a fait la promotion du Bextra pour plusieurs usages et dosages que la FDA (l'autorités sanitaire, ndlr) avait refusé de valider en raison de doutes sur les risques" associés à cet anti-inflammatoire.
Pfizer était également poursuivi pour pratiques commerciales abusives concernant trois autres traitements: le Zyvox (infections bactériennes), le Geodon (troubles bipolaires et schizophrénie) et le Lyrica (troubles nerveux).
Les avocats des plaignants au civil ont salué le montant record de l'amende.
"Pfizer a ciblé des pédiatres et des adolescents pour étendre la commercialisation du Geodon", citent-ils à titre d'exemple, alors que "la FDA a validé le Geodon pour une population de 18-65 ans".
"Pfizer a régulièrement versé des commissions à ces médecins pour enfants pour qu'ils fassent des présentations promotionnelles à leurs pairs sur les bienfaits du Geodon", poursuivent les avocats du cabinet Kenney Egan McCafferty & Young, dans un communiqué.
L'accord solde les plaintes au civil et au pénal sur le sujet. Pfizer, et sa filiale concernée Pharmacia & Upjohn Company, va verser 1,3 milliard de dollars pour solder le volet pénal de l'affaire, et 1 milliard supplémentaire pour solder le volet civil.
Le ministère de la Justice a salué cet accord "historique", dont l'amende du volet civil doit être reversée aux réseaux publics de couverture santé comme Medicare et Medicaid.
"C'est l'illustration des efforts sans relâche de la Justice pour protéger les Américains", a indiqué le ministère, au moment où l'administration du président Barack Obama tente de faire passer une importante réforme du système de santé."
Sortie HDMI vers USB
Lr'ordinateur détecte le raspi comme une webcam
Pour l'instant
"Pour l'instant, les autorités ne prévoient pas de rendre obligatoire la vaccination contre le Covid-19 en France. Un employeur ne pourra donc prendre aucune sanction contre un salarié qui refuserait de se faire vacciner, confirme Muriel Pariente"
Headroom: "Chaque haussement de sourcil ou pupille un peu trop dilatée donne lieu à la création d'une donnée qui est transformée en «émotion»: satisfaction, tristesse, ennui ou confusion."
Hirevue: "De jeunes pousses spécialisées dans le recrutement en ligne en font également leur miel, comme HireVue, qui produit un score d'«employabilité» basé sur les mouvements du visage et le ton de la voix."
« Ce bel élan s’est fracassé face à la real politique comme on dit. Payan savait qu’il ne pouvait pas être le dénominateur commun pour l’union donc il a poussé pour que ce soit Michèle Rubirola. Face à l’emprise qu’a Payan sur elle, Michèle Rubirola a accepté ce rôle de leurre. Elle ne pensait pas que le Printemps avait une chance de gagner et ce leurre a trop bien fonctionné. A partir du moment où elle a été élue, on a vu qu’elle ne savait pas quoi faire, elle a joué le rôle quelque temps avant de prétexter cette opération pour démissionner. Sauf que Le Monde a éventé cette stratégie, qui n’a été que repoussée »
Premier commentaire...
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"cette photographie ne prouve donc pas que le leader travailliste de la capitale britannique a reçu le vaccin, mais elle ne prouve pas non plus le contraire."
Non elle prouve en revanche que ces gens nous prennent pour des imbéciles, à qui il faut montrer une image de vaccination et pas simplement dire : "je me suis fait vacciner". Evidemment ces gens se font vacciner comme je le ferai le plus tôt possible, bénéficiant de mon statut de médecin pour passer avant les autres (mais derrière les personnes âgées).
NB Il ne suffit pas de voir une aiguille sortir d'un corps pour affirmer qu'il y a eu vaccination, car du sérum physiologique peut remplacer le vaccin. Vous videz la seringue. Vous aspirez dans une ampoule de sérum physiologique. Vous remettez le capuchon. Vous placez ça sur un plateau en inox à coté d'un coton imbibé d'alcool."
"Ce qui est en jeu, c’est la liberté d’informer sur ces fléaux que sont le complotisme et la désinformation.
Martine Wonner à l’Assemblée nationale (DR).
Menaces de mort, intimidations, injures, accusations calomnieuses, allégations fausses ou mensongères, cyberattaques, procès en diffamation… : c’est ce à quoi s’exposent ceux qui comme nous à Conspiracy Watch entreprennent d’analyser sous un angle critique, simplement mais résolument critique, les théories du complot, rumeurs et autres intox ainsi que les propos publics et prises de positions de ceux, nombreux, qui s’en font les propagateurs.
Plus que jamais, la critique du complotisme relève du « sport de combat ». Depuis plusieurs années, singulièrement ces dernières semaines, plusieurs collaborateurs de Conspiracy Watch et moi-même personnellement avons été la cible d’attaques d’une violence inouïe auxquelles nous avons décidé de ne pas réagir.
Lorsque ce ne sont pas des utilisateurs anonymes courageusement planqués derrière leurs pseudos qui nous gratifient de toutes les insultes imaginables, ce sont des blogueurs, comme Olivier Berruyer ou Michel Collon, qui cherchent à nous faire taire, en lançant contre nous des procédures-bâillons – quatre contre moi à ce jour, en tant que directeur de Conspiracy Watch ou co-auteur d’un documentaire sur le complotisme diffusé sur France 3 en 2018.
Nous ne nous attendions pas à ce qu’une parlementaire fasse à son tour pression sur nous.
C’est pourtant ce qui vient de se passer. Dans un courrier à en-tête de l’Assemblée nationale qu’elle nous a adressé en recommandé avec avis de réception, la députée du Bas-Rhin, Martine Wonner, la même qui, il y a quelques semaines, dénonçait « la censure des médias en France », n’hésite pas à se réclamer de son statut d’« élue de la Nation » pour nous enjoindre, sous peine de poursuites, de retirer sous 48 heures non seulement la notice d’information que nous lui avons consacrée mais aussi « toutes publications présentes sur votre site traitant de ma personne » (sic !).
Lettre de Martine Wonner à Conspiracy Watch (cliquer pour agrandir).
Nous avons en effet consacré ces dernières semaines une notice d’information à Martine Wonner, comme nous en avons publié d’ailleurs des dizaines d’autres. Ces notices, mises à jour régulièrement, s’inscrivent dans le cadre de notre mission de veille et d’analyse critique du conspirationnisme et de la complosphère. Elles relèvent d’un travail d’information du public.
Du reste, aucune des informations contenues dans cette notice d’information n’est contestée par la députée qui prétend, à tort, que ce texte la présente comme « conspirationniste » (il est vrai qu’elle reconnaît elle-même ne pas savoir ce que veut dire le mot « complotiste » tout en expliquant par ailleurs qu’elle est en train de se dire que le mot « devient un adjectif de qualité ! »).
Il nous apparaît important que nos lecteurs aient connaissance de la place qu’occupe la députée du Bas-Rhin au sein de la complosphère francophone et nous ne voyons pas au nom de quoi nous devrions leur dissimuler ces informations.
Martine Wonner a fait l’objet de plusieurs textes dans des médias comme Le Monde, Libération ou L’Obs – qui va jusqu’à intituler l’un de ses articles : « Martine Wonner, une complotiste à l’Assemblée ? »… Elle fait également l’objet d’une notice dans l’encyclopédie collaborative Wikipédia. Mais il semble qu’elle concentre ses foudres sur notre média qui fonctionne avec deux salariés, une stagiaire, quelques pigistes et une poignée de collaborateurs bénévoles.
La lutte intellectuelle contre le conspirationnisme ne peut se faire qu’avec des arguments fondés en raison et des faits établis, recoupés, vérifiés, au terme d’un travail journalistique rigoureux et scrupuleux. Si des responsables politiques commencent à traîner devant les tribunaux un site internet unique en son genre comme Conspiracy Watch (un service de presse en ligne reconnu comme tel par la Commission paritaire des publications et agences de presse), c’est rien de moins que la liberté d’informer sur ces fléaux que sont le complotisme et la désinformation qui est en jeu."