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"D’un instant à l’autre tu n’a plus rien concernant tes patients, plus de prescriptions, plus de pancarte, plus de dossier de soin infirmier, plus d’historique des labos, de la radio, des courriers, il est 3h du matin, et tu dois préparer des piluliers à partir de rien … juste ta mémoire.
Tu n’as plus de préparation de centrage de radiothérapie, de calculs de doses, d’accélérateur opérationnel ….
Plus de dossiers de chimio, tu prépares tout à la main avec calcul de doses, etc …"
[...]
"Plus de stérilisation"
[...]
"Tu pourrais opérer, mais t’as plus de boîtes stérilisées"
[...]
"c’est le moment de dire que tu avais un RDV d’ophtalmo la semaine prochaine !!! personne ne te contredira "
[...]
"Les calculs de surcoût covid ont disparus avant qu’on les envoie. Plus aucun fichier de finances, et 10 ans d’ancienneté disparus.
Plus de logiciels d’entrées et de facturation …
Impossible de payer les fournisseurs, on ne sait pas distinguer le vrai du faux"
ça me parait
"Prédictions par les maths en Belgique :
117 000 personnes hospitalisées
52 000 personnes ayant besoin de soins intensifs.
Il y a 30 000 lits aigus adultes dans les hôpitaux Belges. Parmi ceux-ci, on retrouve environ 1 400 Lits de soins intensifs qui disposent de machines (respirateurs, dialyse, …) permettant de gérer les cas les plus graves de coronavirus.
30 000 lits pour 117 000 personnes à hospitaliser.
1 400 lits pour 52 000 personnes à admettre en soins intensifs.
Il ne faut pas être grand mathématicien pour comprendre que sans rien faire, on va avoir un problème.
Car en effet, une fois ces lits remplis, le patient ne pourra plus être soigné par des moyens technologiques élevés. Il rentrera à domicile et sera soigné avec les moyens du bord. Cela explique alors une flambée de mortalité qu’on observe dans les régions où le système de soins a dépassé la saturation. A titre d’exemple, la mortalité du virus en Italie est de 2,6%. Elle monte à 3,9% dans les zones où les hôpitaux ont été saturés. >>
Et le scénario va être le même en France. Tous les pays où la santé a été bradée (pour à terme pouvoir tout privatiser) vont subir une vague de morts à cause d'un manque drastique de moyens"