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"Note: LA SECONDE DOSE PFIZER SERAIT MOINS EFFICACE CHEZ LES FEMMES, LES FUMEURS ET PERSONNAGES ÂGÉES
La plupart des vaccins, contre la COVID, élaborés jusqu’ici se sont révélés particulièrement puissants. Et celui développé par Pfizer ne fait pas exception à cette réalité. Ceci dit, au fur et à mesure des mois, l’efficacité des vaccins s’amenuise.
Concrètement, les résultats indiquent une baisse de l’immunité offerte par le vaccin à partir des six mois suivant la deuxième dose. C’est pour cette raison d’ailleurs qu’une 3e dose est maintenant conseillée.
Les facteurs pouvant expliquer cette baisse d’immunité
Des scientifiques ont récemment découvert au Japon qu’il existe quelques facteurs principaux pouvant favoriser la baisse de l’efficacité du vaccin après six mois. Parmi ceux-ci, on retrouve notamment la vieillesse ainsi que le tabagisme. En effet, il a été noté un taux faible d’anticorps auprès des personnes âgées et celles qui fument.
Aussi, les femmes étaient plus susceptibles de subir une diminution rapide de leurs taux d’anticorps, et ce en moyenne six mois après injection de la seconde dose Pfizer-BioNTech. À titre indicatif, l’étude spécifiait que : « L’atténuation des titres d’anticorps pendant 3 à 6 mois après la deuxième dose du vaccin BNT162b2 dépend du sexe, avec l’âge et le tabagisme comme facteurs de risque pour des titres d’anticorps inférieurs à 6 mois ». Il est d’ailleurs possible de la consulter sur la plate-forme medRxiv *.
Plus de détails sur les recherches menées
Pour en savoir plus sur cette étude, notez qu’elle a porté sur 365 agents de santé ayant bien déjà été vaccinés. Elle fut menée au sein d’un centre de santé de la préfecture de Tochigi, et sur 250 femmes ainsi que 115 hommes. À noter, aussi, que l’âge médian était de 44 ans et que les professionnels de la santé constituaient 56,2 % de la population analysée.
En outre, le travail de recherche a entre autres consisté à confronter les niveaux d’anticorps des personnes étudiées et la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 6 mois après une seconde dose. À en croire, les données relevées, le titre médian d’anticorps se situait à à peu près 539 U/mL.
Infos supplémentaires sur les facteurs pouvant être à l’origine de la baisse
Il faut savoir que les personnes âgées présentaient des titres d’anticorps très faibles, atteignant même la moitié de ceux présentés par les agents d’en moyenne 20 ans. On peut ainsi cerner que plus l’âge évoluait de 20 à 70 ans, plus les taux d’anticorps baissaient. Précisons que les scientifiques derrière l’étude ont dû ajuster les données. Ceci parce que quelques éléments endogènes comme l’hypertension peuvent avoir influé sur les résultats ayant trait à l’âge.
En revanche, à la suite d’une autre analyse, il apparaissait que seul le tabagisme avait une forte corrélation avec des niveaux d’anticorps plus bas. “En termes de tabagisme, les titres d’Ab médians ajustés en fonction de l’âge étaient de -97 (-277 à 184) et 56 (-182 à 342) chez les fumeurs et les non-fumeurs, respectivement”, ont laissé comprendre les scientifiques de l’étude. D’un autre côté, dans le cas du facteur sexe, on note que les taux d’anticorps contre le SRAS-CoV-2 ont baissé jusqu’à un pourcentage médian de -29,4.
En vérité, les femmes présentaient un taux de diminution de 6,5%, plus vite que les hommes. Au niveau des, femmes, le niveau médian de variation du nombre d’anticorps était de -31,6 % contre -25,1 %, du côté des hommes. Mais pour finir, retenez que les chercheurs précisent que des différences individuelles non considérées dans l’étude pourraient aussi avoir influé sur la baisse d’immunité. Et nous vous invitons à consulter SOURCE pour avoir plus de détails sur l’étude."
à creuser:
"Au Royaume-Uni, par exemple, 30 000 effets de ce type ont été signalés sur la totalité des vaccinations depuis le début. En France, en août, on comptait 261 cas de troubles menstruels en août, 229 en juillet."
TODO:
- Quel est le pourcentage aux RU et les autres pays ?
- Lire les source de l'article
C'est quand même vachement vague sa définition des personnes à risques...
«les personnes qui meurent actuellement ont la moyenne d'âge de 80 ans. Ce n'est pas normal (que certains) ne soient pas vaccinés»
«Les gens qui meurent auraient dû être vaccinés» car ce sont les personnes à risques, c'est-à-dire essentiellement «les grands obèses», les plus de 80 ans et ceux avec des anomalies génétiques.
Par ailleurs, le professeur a reconnu que la vaccination «protège de 50 à 60 % contre les infections».
Pour l'instant
"Pour l'instant, les autorités ne prévoient pas de rendre obligatoire la vaccination contre le Covid-19 en France. Un employeur ne pourra donc prendre aucune sanction contre un salarié qui refuserait de se faire vacciner, confirme Muriel Pariente"
Premier commentaire...
"
"cette photographie ne prouve donc pas que le leader travailliste de la capitale britannique a reçu le vaccin, mais elle ne prouve pas non plus le contraire."
Non elle prouve en revanche que ces gens nous prennent pour des imbéciles, à qui il faut montrer une image de vaccination et pas simplement dire : "je me suis fait vacciner". Evidemment ces gens se font vacciner comme je le ferai le plus tôt possible, bénéficiant de mon statut de médecin pour passer avant les autres (mais derrière les personnes âgées).
NB Il ne suffit pas de voir une aiguille sortir d'un corps pour affirmer qu'il y a eu vaccination, car du sérum physiologique peut remplacer le vaccin. Vous videz la seringue. Vous aspirez dans une ampoule de sérum physiologique. Vous remettez le capuchon. Vous placez ça sur un plateau en inox à coté d'un coton imbibé d'alcool."
Article pro vaccin mal construit qui laisse songeur sur le métier de journalisme....