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"Directeur de l’institut hospitalo-universitaire de Marseille, Didier Raoult est devenu, au printemps 2020, une idole pour une partie de la population française. En faisant la promotion d’un traitement inefficace contre le Covid-19, le chercheur marseillais a acquis une aura, une stature nationale au point de recevoir, dès le mois d’avril, la visite du président de la République.
Et pourtant, dès cette époque-là, Mediapart révélait déjà deux rapports qui documentaient les méthodes douteuses de Didier Raoult, des arrangements avec la science et un manque d’expertise de ses équipes en épidémiologie.
Plus tard, Mediapart révélait également que les équipes de Didier Raoult prescrivaient de façon sauvage à des patients atteints de tuberculose un traitement expérimental, non testé, qui a provoqué dans certains cas de graves complications.
Ce sont ces deux ans d’enquête que Mediapart vous propose aujourd’hui en vidéo. "
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Fakenews créé sur Facebook
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"Note: LA SECONDE DOSE PFIZER SERAIT MOINS EFFICACE CHEZ LES FEMMES, LES FUMEURS ET PERSONNAGES ÂGÉES
La plupart des vaccins, contre la COVID, élaborés jusqu’ici se sont révélés particulièrement puissants. Et celui développé par Pfizer ne fait pas exception à cette réalité. Ceci dit, au fur et à mesure des mois, l’efficacité des vaccins s’amenuise.
Concrètement, les résultats indiquent une baisse de l’immunité offerte par le vaccin à partir des six mois suivant la deuxième dose. C’est pour cette raison d’ailleurs qu’une 3e dose est maintenant conseillée.
Les facteurs pouvant expliquer cette baisse d’immunité
Des scientifiques ont récemment découvert au Japon qu’il existe quelques facteurs principaux pouvant favoriser la baisse de l’efficacité du vaccin après six mois. Parmi ceux-ci, on retrouve notamment la vieillesse ainsi que le tabagisme. En effet, il a été noté un taux faible d’anticorps auprès des personnes âgées et celles qui fument.
Aussi, les femmes étaient plus susceptibles de subir une diminution rapide de leurs taux d’anticorps, et ce en moyenne six mois après injection de la seconde dose Pfizer-BioNTech. À titre indicatif, l’étude spécifiait que : « L’atténuation des titres d’anticorps pendant 3 à 6 mois après la deuxième dose du vaccin BNT162b2 dépend du sexe, avec l’âge et le tabagisme comme facteurs de risque pour des titres d’anticorps inférieurs à 6 mois ». Il est d’ailleurs possible de la consulter sur la plate-forme medRxiv *.
Plus de détails sur les recherches menées
Pour en savoir plus sur cette étude, notez qu’elle a porté sur 365 agents de santé ayant bien déjà été vaccinés. Elle fut menée au sein d’un centre de santé de la préfecture de Tochigi, et sur 250 femmes ainsi que 115 hommes. À noter, aussi, que l’âge médian était de 44 ans et que les professionnels de la santé constituaient 56,2 % de la population analysée.
En outre, le travail de recherche a entre autres consisté à confronter les niveaux d’anticorps des personnes étudiées et la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 6 mois après une seconde dose. À en croire, les données relevées, le titre médian d’anticorps se situait à à peu près 539 U/mL.
Infos supplémentaires sur les facteurs pouvant être à l’origine de la baisse
Il faut savoir que les personnes âgées présentaient des titres d’anticorps très faibles, atteignant même la moitié de ceux présentés par les agents d’en moyenne 20 ans. On peut ainsi cerner que plus l’âge évoluait de 20 à 70 ans, plus les taux d’anticorps baissaient. Précisons que les scientifiques derrière l’étude ont dû ajuster les données. Ceci parce que quelques éléments endogènes comme l’hypertension peuvent avoir influé sur les résultats ayant trait à l’âge.
En revanche, à la suite d’une autre analyse, il apparaissait que seul le tabagisme avait une forte corrélation avec des niveaux d’anticorps plus bas. “En termes de tabagisme, les titres d’Ab médians ajustés en fonction de l’âge étaient de -97 (-277 à 184) et 56 (-182 à 342) chez les fumeurs et les non-fumeurs, respectivement”, ont laissé comprendre les scientifiques de l’étude. D’un autre côté, dans le cas du facteur sexe, on note que les taux d’anticorps contre le SRAS-CoV-2 ont baissé jusqu’à un pourcentage médian de -29,4.
En vérité, les femmes présentaient un taux de diminution de 6,5%, plus vite que les hommes. Au niveau des, femmes, le niveau médian de variation du nombre d’anticorps était de -31,6 % contre -25,1 %, du côté des hommes. Mais pour finir, retenez que les chercheurs précisent que des différences individuelles non considérées dans l’étude pourraient aussi avoir influé sur la baisse d’immunité. Et nous vous invitons à consulter SOURCE pour avoir plus de détails sur l’étude."