124 private links
"Le Calcul du nombre de Chômeur n’a donc rien à voir avec le nombre de personnes inscrites à Pôle emploi selon INSEE ... et il le calcule en fonction d'un panel.....!
Trois questions : A quoi serve les chiffre de pole emploi ?
Qui a eut l'idée aussi sotte que grenue de fixer les chiffre du chômage en fonction d'un sondage ?
Comment est fixé le panel dit représentatif des français.
En conclusion, selon les sondeurs Trump et Boris n'avait aucune chance ... Yoyo aurait dû être élu président etc... pourquoi utiliser une stat alors qu'on a un chiffre exacte quasi au jour le jour ?
Bref, comme disait Churchill "Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées.""
Soucieux d’appuyer le propos du ministre des Affaires étrangères, qui, le 10 mai, avait accusé deux otages français d’avoir pris « des risques majeurs » en se rendant dans le parc de la Pendjari (Bénin), le journal de France 2 n’a pas hésité à recycler des images d’archives. Et d’une drôle de manière…
Le lendemain de la sortie de Jean-Yves Le Drian, le jité de Laurent Delahousse propose un reportage choc : « Zones dangereuses : un tourisme qui fait polémique ». En manque d’exemples probants pour dénoncer ce tourisme irresponsable qui met en danger la vie de nos militaires, la chaîne publique ressort les images, tournées six mois auparavant, d’un couple de retraités lillois, Jean-Noël et Claudine, en goguette en Mauritanie. D’emblée, le décor est planté : « Des voyageurs français en quête d’aventure, loin du tourisme de masse, comme ici, en Mauritanie, une zone sous haute surveillance. Sur ces images, quatre brigades de gendarmerie se positionnent et assurent leur sécurité… » De vrais inconscients !
Désert compris
Problème : lorsque France 2 avait suivi ce couple et narré son périple, au début de l’année, c’était pour illustrer un propos totalement contraire ! Il s’agissait de saluer la réouverture au tourisme du « train du désert » reliant Nouakchott à Zouerate, au cœur du Sahara mauritanien. Et, dans ce sujet-là, Jean-Noël et Claudine n’étaient que de sympathiques globe-trotteurs profitant d’une région de nouveau ouverte ! Ambiance décontractée, musique orientale, décors de carte postale, soirées au coin du feu…
Train d’enfer
Dans le reportage diffusé le 14 janvier, la caméra filme « deux amoureux du désert ». Jean-Noël réalise son « rêve d’enfant », Claudine a les cheveux au vent, et France 2 s’émerveille : « Une jolie manière, pour notre couple, de célébrer ses quarante-six ans de mariage. » Mieux : « Ils sont sereins, bien loin d’un possible risque terroriste », précise le journaliste. Et de laisser la parole à Claudine, tout sourire : « A partir du moment où il a été décidé que ce circuit était ouvert, c’est qu’il y a de la sécurité. » Et, si les gendarmes locaux accompagnent la sortie pédestre, « c’est pour s’assurer que les touristes sont bien en sécurité. La balade peut commencer »… Tout va pour le mieux.
Changement radical de ton dans le reportage de mai 2019. Cette fois, les deux mêmes Lillois se montrent d’une imprudence choquante : « A bord de leur train, qui traverse le Sahara, ces touristes rencontrés en janvier dernier ne pensent pas au risque terroriste… »
Heureusement, France 2 est là pour le leur rappeler !
Énième confirmation que l'on peut faire dire ce que l'on veut à des images. :)
Dans le Canard enchaîné du 22 mai 2019.
"La DGSI n’a pas les moyens d’analyser l’ensemble des données récoltées par le biais de ses systèmes de surveillance. Elle va déléguer à Palantir, cofondée par un membre du cabinet Trump, le traitement de ces données.
Il n’est pas suffisant de voter des tas de lois antiterroristes et renseignement imposant la surveillances des réseaux télécoms. La quantité de données amassée par ces grandes oreilles numériques est énorme, et il faut par la suite pouvoir les traiter.
Or, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) s’est rendue compte qu’elle ne possédait pas les moyens suffisants pour le faire. Paris-Match a révélé que l’agence française avait signé un contrat avec la firme américaine Palantir, pour la seconder dans ses missions d’anti-terrorisme.
Une solution financée par la CIA
Palantir, société très secrète basée dans la Silicon Valley, financée à son lancement par la CIA et qui serait valorisée aujourd’hui 20 milliards de dollars, est spécialisée dans l’analyse big data et travaille pour des clients tels que le FBI et la NSA. Elle aurait, dit-on, contribué à localiser Ben Laden en 2011.
D’après les services, la France n’a pas eu le choix, et dû faire appel aux services d’une entreprise étrangère. “Ils sont les seuls à disposer de cette technologie qui nous est nécessaire”, explique à Paris Match un agent de la lutte antiterroriste. “Avec Palantir, les services US vont disposer d’une fenêtre grande ouverte sur des informations sensibles et notre lutte antiterroriste. C’est un moindre mal, mais il ne faut pas être dupe”.
“Des problèmes de souveraineté nationale”
Des informations tellement sensibles qu’en février dernier, alors interrogé par L’Express, le ministère de l’Intérieur indiquait: “utiliser une solution américaine, de surcroît financée par la CIA, pose des problèmes de souveraineté nationale”.
Le problème se pose avec d’autant plus d’acuité que l’un des co-fondateurs de Palantir est Peter Thiel, seul soutien notable de Donald Trump dans la Silicon Valley, désormais membre du cabinet du président élu."
« Je prends le train tout le temps, pour tout.
Je n'ai pas de voiture, je ne prends pas l'avion. J'aime beaucoup la combinaison train + vélo.
Etudiante, je prenais souvent le Paris-Rouen. Les billets étaient valables deux mois : on les achetait d'un coup et ensuite on montait dans le premier train qu'on voulait le jour dit. Les billets avaient un prix fixe, fallait juste pas se tromper entre période blanche et bleu. C'était hyper pratique. Et puis un jour, les billets n'ont plus été valables qu'une semaine.
Le E-billet m'est d'abord apparu comme un énorme handicap : obligée de prendre le train inscrit sur le billet et pas un autre !
Avec la carte 12-27, je m'éclatais avec le train : on profitait des billets pas chers pour faire des escales sur la route, des circuits et non de simples A/R. Depuis que j'ai la carte week-end, le train est devenu un stress. Vu que t'es obligé de prendre un A/R il faut tout programmer à l'avance : décider quand tu vas rentrer, à quelle heure. Changement de programme ? Le billet n'est pas échangeable.
Envie d'arriver dans une ville et de repartir d'une autre ? Pas possible !
Quand tu vas en week-end à mi-chemin entre Aix et Marseille, ce sont des calculs impossibles pour trouver LA meilleure combinaison.
Je voyage à vélo : la carte week-end ne peut pas s'appliquer aux voyages itinérants, vu qu'il faut aller et revenir du même point.
On parle de toute façon même pas des vélo dans le train : c'est devenu tellement incertain de voyager avec...
Bref, avant le train, pour moi, c'était la liberté. Le truc qui me faisait rêver ado et jeune adulte.
Avec @ouisncf, c'est devenu une source de stress, sans flexibilité et avec TOUJOURS le sentiment de me faire arnaquer. »
Pure vérité, les Allemands travaillent moins que les français.
"Les Français pourraient être en congés le vendredi, ils produiraient encore davantage que les Britanniques en une semaine."
"Plusieurs économistes estiment par ailleurs que si les Français étaient moins productifs, le chômage serait plus faible dans le pays ; les entreprises devraient embaucher plus de salariés pour abattre la même quantité de travail"
"Les Français – à temps complet et à temps partiel – travaillaient 37,3 heures par semaine en 2018. C’est plus que la moyenne européenne qui s’établit à 37,1 heures, c’est aussi plus que ses voisins néerlandais (30,4), britanniques (36,5), suisses (34,7) ou allemands (34,9)."
"près de quinze points au-dessus de la moyenne européenne (114,8 contre 100 pour les Vingt-Huit). La France se situe devant l’Allemagne (106,3), le Royaume-Uni (100,2), l’Italie (107) ou les Pays-Bas (111) ; elle est néanmoins derrière les travailleurs suisses (121,1), belges (128,8) ou irlandais (187,1)"
"la productivité par personne en emploi et par heure travaillée en base 100 (100 étant la productivité de l'Union européenne à 28)."
Une autre perspective du modèle Allemand
Tiens donc les français ont en moyenne fait plus d'heure que les allemands en 2015. Notre problème, c'est sûrement les 35h !!
Image illustré : https://pbs.twimg.com/media/C1lmmtUXcAAi-Lx.jpg:large