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Les Kassos ont parodié Akira le manga avec la musique de Marche à L'ombre de Renaud
Ça serait pas une prise d'otage ?
"Selon Nemec, eBay n’est pas le seul à utiliser ce type de contrôles de sécurité pour s’assurer que l’ordinateur de la cible n’est pas utilisé à des fins malveillantes. Cette position est soutenue par un commentateur : « Le check.cs est utilisé conjointement avec snare.js, et eBay n'est pas le seul à l'utiliser. Je sais pertinemment que l'application Virtual Numbers de la Citi Bank l'utilise. Il semblerait que de nombreux (la plupart ?) sites de jeu et de commerce l'utilisent également », a-t-il écrit. « Où cela va-t-il finir ? Chaque commerçant pourrait s'en servir comme justification », a ajouté un autre commentateur. Qu’en pensez-vous ? "
Les élèves ont été obligé d'installer un logiciel de télésurveillance pour passer leur examen pendant le confinement
Obligation de filmer la pièce avant de passer l'examen et analyse des mouvements oculaires pendant
Autant dire que certains ont même pas dû se reposer les yeux de peur d'être suspect
"“tous les sons de notre environnement, la webcam, l’endroit où on se trouve, notre identité, mais aussi et surtout le mouvement de notre tête, de nos yeux, de notre bouche…” qui sont enregistrés et décortiqués par le logiciel, qui avertira l’examinateur en cas de comportement jugé suspect."
Clap Clap aux pseudo pilotes
"Trois semaines après le début du déconfinement, la Sécurité routière observe une hausse des accidents mortels et un bond de 15% des grands excès de vitesse."
Les conséquences de la loi travail avec le Covid19
"Baisser son salaire pour garder son emploi ? Le gouvernement dénonce un «chantage» que ses lois ont permis
Par Frantz Durupt — 2 juin 2020 à 17:09
La ministre du travail Muriel Penicaud visitant un chantier à Montevrain le 12 mai Christophe Petit Tesson. REUTERS
Baisser son salaire pour garder son emploi ? L'hypocrite dénonciation du gouvernement
Ça se passe comme ça chez Ryanair : le 15 mai, la filiale de la compagnie irlandaise low-cost opérant en France a envoyé un mail aux élus représentant ses hôtesses et stewards pour les menacer de «licencier 27 personnes» si le SNPNC-FO, syndicat majoritaire, «ne s’engag[eait] pas rapidement à accepter des baisses de salaires». Soit un «chantage aux licenciements» caractérisé, et dénoncé comme tel non seulement par le syndicat concerné, mais aussi au sein du gouvernement. Ce mardi, les ministres de l’Economie et du Travail, Bruno Le Maire et Muriel Pénicaud, ont ainsi condamné le procédé de la compagnie.
Dimanche, l’ambiance était pourtant bien différente. Sur LCI, la même Muriel Pénicaud vantait les «alternatives» aux licenciements, rappelant l’existence d’un dispositif portant le nom poétique d’«accord de performance collective». Son principe ? La ministre du Travail l’a bien rappelé sur BFM Business ce mardi : «Quand une entreprise passe un passage difficile, en général la seule solution c’est le PSE [plan de sauvegarde de l’emploi, ndlr] [...]. L’accord [de performance collective] permet de dire : "On va discuter le temps de travail, ou les rémunérations, ou l’organisation du travail…" en contrepartie de ne pas licencier.» On serait naïvement tenté, en écoutant cette explication, d’y voir une définition assez parfaite d’un «chantage aux licenciements». Mais à en croire la ministre, cela n’aurait rien à voir et Ryanair trahirait «l’esprit» qui présida à l’adoption du dispositif en 2017.
Rembobinons donc un instant : cette année-là, tout juste élu président, Emmanuel Macron avait fait adopter une batterie d’ordonnances réformant le code du travail. Leur «esprit» était alors limpide : il s’agissait de renvoyer à la négociation d’entreprise, c’est-à-dire au tant vanté «dialogue social», un maximum de sujets. En l’espèce, les accords de performance collective sont venus remplacer d’autres dispositifs, comme les accords de maintien de l’emploi, en assouplissant considérablement, pour les employeurs, les possibilités d’y recourir. Selon la loi, un accord de performance collective doit ainsi «répondre aux nécessités liées au fonctionnement de l’entreprise ou en vue de préserver ou de développer l’emploi». La formulation, très floue, rend les motifs de la chose nettement plus difficiles à contester devant un juge. Et peut placer de fait les élus dans une situation intenable quand un patron décide de recourir à l’un de ces «accords» où tout est négociable, de la durée des concessions sociales au fait même de ne licencier personne en contrepartie.
Bref, sur le papier, on ne voit pas bien ce qui pourrait empêcher Ryanair, qui réalise pourtant un bénéfice net de plus d’un milliard d’euros chaque année, d’y recourir. Tout comme Derichebourg Aeronautics, qui en 2019 réalisait un profit de 5,8 millions d’euros et qui a proposé à ses équipes de réduire leurs indemnités de transports et de repas. Que pèse donc l’«esprit» revendiqué d’une loi quand sa lettre, elle, a pour effet direct de renforcer le pouvoir patronal ? La question risque de se poser très concrètement à de nombreux salariés dans les prochains mois. Pour eux, en vertu de la loi, l’alternative sera simple : accepter les sacrifices, ou être licenciés pour les avoir refusés. Mais ça n’est pas du «chantage»"
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"J'en ai fait l'expérience. J'ai moi-même porté une affaire de racisme avec des éléments matérialisés devant l'Inspection générale de la police nationale (IGPN). Les individus dont il a été établi qu'ils étaient les auteurs de mails et d'échanges à caractère raciste ont été promus au grade supérieur et moi, j'ai été suspendu 24 mois, dont 18 avec sursis. Donc, en fait, l'IGPN et les autorités m'ont envoyé un signal très clair : on ne dénonce pas le racisme dans la police."
Je dirais qu'il y a 6 - 8 vrai bavure
How warcraftlogs track roles ?
- Being 35% time into def stance
or - Take 50% damage from boss
Website are doing port scanning
Ebay do it to detect VNC
"@capgeminifrance, leader mondial des services numériques, va verser 228,6 millions € de dividende à ses actionnaires alors que 3000 de ses salariés ont profité du chômage partiel, payés sur fonds publics"
"aujourd'hui, ils passent en chômage partiel.
Tout irait bien, si on les prévenait et qu'ils ne venaient effectivement pas télétravailler.
Mais ce n'est pas ce que Capgemini a prévu. Non.
Notre entreprise a prévu de les passer rétroactivement en chômage partiel à partir du 16 mars. Ils étaient présents? C'est dommage pour eux."